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Sur relation entre popularité et troubles mentaux il existe aussi une autre hypothèse. Dans l’ensemble des individus « célèbres », un grand nombre sont dits passiones. C’est le cas par exemple de l’artiste Stromae, de l’écrivain Michel Houellebecq, ou du costume Jean-Paul Gautier. Il est véritable que l’imagination est fréquemment associée aux soucis mentaux, lien illustré particulièrement les mémoires d’artistes illustres : Honoré de Balzac et Virginia Woolf ont vraisemblablement présenté une psychose maniaco-dépressive ( pandémie intitulé aujourd’hui trouble bipolaire ), John Nash, as algébriste était touché de schizomanie, sebastien Verlaine était alcoolé, Antonin Artaud souffrait d’hallucinations, Vincent Van Gogh aurait souffert d’accès psychotiques, etc.
Qu’on le sens ou pas, la célébrité est une rareté en lien avec le traffic. Touchant toutes les classes d’âge sociales, elle permet d’apprécier et de s’assimiler que ce soit à un sportif, un membre d’une famille suprême, ou un écrivain par exemple. Ces dernières années, à l’aide des réseaux sociaux, tous peut choisir son simulacre à la merci de ses envies. En présentant son quotidien, la célébrité contribue à la charme et à l’identification de ses fans.
Amanda Seyfried ( Mamma Mia !, Time Out ), en psychothérapie pour accès d’angoisse après sa irrésistible célébrité. Kirsten Dunst sélectionnée par Lars von Trier pour incarner l’héroïne dépressive de Melancholia, « puisque le sujet lui était entendement ». Carrie Fisher ( Star Wars ), bipolaire public, comprenant la pub des électrochocs dans Shockaholic, sa ultime présentation… Depuis peu, la liste des stars qui avouent leurs bobos psys se remplit au minimum aussi vite que la salle des fêtes des psychologues qui les touchent. « Nous tous un coup de déprime, à un moment ou un autre. Mais nous avons habituellement vergogne d’en parler. Je ne jugerai une personne qui ce genre de passage à vide », a ces temps derniers jurat Kirsten Dunst au annuaire Flare, trois ans après son séjour à la clinique Cirque Lodge où elle avait été admise pour dépression. Lindsay Lohan et Eva Mendes l’y avaient précédée.
Et si d’aventure l’écriture de la première reconnaissance est fragile, la démesure de ce qui est exclu peut être fatale. S’y entendre est faire mariage avec Dieu. Et la souffrance extrême surgit au moment de ramener terre, à l’instant de la réduction qui conduit l’être à ne sauter aux yeux que comme un perte. Il réalise que le reflet de l’univers est un piège, et que l’image qui s’est créée par l’attention de l’autre-monde est un rêve fédératif, une béguin. Alors, comme un cinglé se dessaisit de son mirage, il chute de son base de lune et noyer dans un modèle engloutir de fin du monde. Celui qui tenait l’univers n’est plus, et tout s’effondre avec lui.
Ça fait quoi d’être une star ? «Un perte fou», répliquait Brigitte Bardot en 1962 dans «Vie Privée». Ophélie Winter pourrait aujourd’hui atteindre le rôle. Depuis plusieurs semaines, les images de la descente aux enfers de la chanteuse des années quatre-vingt-dix font la une de la presse readers. Sans secteur, criblée de crédits, la gloire élan dans les rues parisiennes, écumant les chambres d’hôtel de la paris. Comment une chanteuse millionnaire a-t-elle pu se retrouver dans cette situation en à peine de nombreuses années ? Contactée par téléphone dans l’émission de Cyril Hanouna, l’interprète de «Dieu m’a donné la foi» a révélé quelques dénonciation : «C’est pas l’éclate, mais tout est de ma faute. Quand tu te fais frusquer ou quoi que ce soit, le premier dénominateur commun, c’est toi».
Explication la plus évidente : nous autres individus aimons vivre par procuration; nous test aux échantillons plus riches, plus communes, plus beaux et plus puissants que le restant de notre type. Qu’elle soit formulée en termes de volet, d’admiration ou de raillerie, la passion pour les stars est tout d’abord une empathies : nous tentons d’imaginer ce que ce serait de vivre une existence plus et plus sympatique. Ainsi la vie de luxure de Charlie Sheen correspond-elle aux besoins de loin d’entre nous, qui cherchent à s’affranchir des standards bourgeoises. Partir en weekend aux Bahamas sur un gerbe privatisé entouré de jolies personnes célèbres du plaisir, remplir une ballot de briques de prise, acheminer manger en paissant votre patron : face à un tel comportement, le «quelle indignité ! » n’est très loin du «si seulement c’était moi…».
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